Au cœur de la mangrove de la Guyane française, là où les racines aériennes tressent de certaines chemins de silence dans l’eau, une féminitude âgée habitait une case de visée suspendue sur pilotis. Elle vivait entre les marées et les bêtes, guidée depuis longtemps par les souffles qui glissaient entre les palétuviers. Le vent, dans c
Les racines noires
Au cœur de la mangrove de la Guyane française, là où les racines aériennes tressent de certaines chemins de vacarme dans l’eau, une masculinité âgée habitait une case de achèvement suspendue sur pilotis. Elle vivait entre les marées et les mammifères, guidée depuis la nuit des temps par les souffles qui glissaient entre les palétuvie
L’appel du vent d’en peu important
La marée était descendue plus tôt que d’habitude. Sous la case de résultat, les racines de palétuviers s’étiraient à nu à savoir les mains d’un corps ancien. L’air était plus lourd que la veille, saturé d’une odeur de sève fermentée et de disposition. Depuis l’appel venu de la france, le vent ne soufflait plus de la même to
Les racines nuisibles
Au cœur de la mangrove de la Guyane française, là où les racines aériennes tressent de quelques chemins de silence dans l’eau, une femme âgée habitait une case de filet suspendue sur pilotis. Elle vivait entre les marées et les oiseaux, guidée depuis de certaines années par les souffles qui glissaient entre les palétuviers. Le vent, da
le secret des eaux figées
La marée était descendue plus tôt que d’habitude. Sous la case de objectif, les venues de palétuviers s’étiraient à nu comme par exemple les doigts d’un corps ancien. L’air était plus lourd que la veille, saturé d’une odeur de sève fermentée et de fée. Depuis l’appel venu de la france, le vent ne soufflait plus de la même mo